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Plus de la moitié de la rédaction de @streetpress a, à ce jour, une procédure judiciaire sur le dos.
Ces procès, qui mobilisent énormément de temps, d’énergie et d’argent, s’apparentent à des procédures-bâillons. Certaines procédures, visiblement bâclées, semblent davantage relever d’un acharnement judiciaire visant à faire taire le journal que de poursuites sur des fondements légitimes.

Il ne s’agit pas ici de gagner une procédure, mais d’épuiser celui ou celle qui révèle des informations d’intérêt public. Au-delà du cas de StreetPress, nous alertons sur la multiplication des procédures judiciaires abusives contre des médias et le contournement du droit de la presse en France.
Il est donc urgent que le législateur transpose la directive européenne anti-SLAPP dans le droit français afin de mettre un terme à l’utilisation de ces procédures-bâillons. Il en va du droit à l’information des citoyens.

🔗 Lisez notre article sur le site rsf.org ou dans le lien en bio.

@erik_tegner @frontieresmedia

#media #journalisme #freespeech #freepress #journalists #journaliste #condemningabuses #reportersindanger #libertédelapresse #journalismisntacrime #fightfortruth #humanrights #freemedia #justicenow #picoftheday #libertedelapresse #rsf
Plus de la moitié de la rédaction de @streetpress a, à ce jour, une procédure judiciaire sur le dos.
Ces procès, qui mobilisent énormément de temps, d’énergie et d’argent, s’apparentent à des procédures-bâillons. Certaines procédures, visiblement bâclées, semblent davantage relever d’un acharnement judiciaire visant à faire taire le journal que de poursuites sur des fondements légitimes.

Il ne s’agit pas ici de gagner une procédure, mais d’épuiser celui ou celle qui révèle des informations d’intérêt public. Au-delà du cas de StreetPress, nous alertons sur la multiplication des procédures judiciaires abusives contre des médias et le contournement du droit de la presse en France.
Il est donc urgent que le législateur transpose la directive européenne anti-SLAPP dans le droit français afin de mettre un terme à l’utilisation de ces procédures-bâillons. Il en va du droit à l’information des citoyens.

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2 hours ago
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1/6
On 15 December, Jimmy Lai was found guilty of offences including two counts of "collusion with foreign forces” and conspiring to publish “seditious” material. His sentence will be announced at a later date.
Lai, a laureate of the RSF Press Freedom Award, has been in prison continuously since December 2020. Subjected to harsh conditions of solitary confinement, he is restricted to only 50 minutes of “exercise” per day in a metal cage, which has led to significant deterioration of his health. His family has warned that his fingernails have fallen off and his teeth rotted.
We are outraged that a court in Hong Kong has delivered a guilty verdict in the sham trial of the British publisher. We call on democratic leaders worldwide to act immediately to secure the release of the 78-year-old founder of Apple Daily.
Read more at rsf.org
--

Le 15 décembre, Jimmy Lai a été reconnu coupable notamment de “collusion avec des forces étrangères” et de complot en vue de publier des documents “séditieux”. Sa peine sera prononcée à une date ultérieure.
Jimmy Lai, lauréat du prix RSF pour la liberté de la presse, est détenu sans interruption depuis décembre 2020. Soumis à l’isolement et à des conditions de détention sévères, il n'a droit qu'à 50 minutes d'“exercice” par jour dans une cage métallique, ce qui a entraîné une grave détérioration de son état de santé. Sa famille a signalé que ses ongles étaient tombés, que ses dents étaient pourries. Nous sommes indigné.e.s par ce verdict, rendu dans le simulacre de procès contre le patron de presse britannique. Nous appelons les dirigeants démocratiques du monde entier à agir immédiatement pour obtenir la libération du fondateur d’Apple Daily, âgé de 78 ans.

En savoir plus sur rsf.org

#media #journalisme #freespeech #freepress #journalists #journaliste #condemningabuses #reportersindanger #libertédelapresse #journalismisntacrime #fightfortruth #humanrights #freemedia #justicenow #picoftheday #libertedelapresse #rsf
On 15 December, Jimmy Lai was found guilty of offences including two counts of "collusion with foreign forces” and conspiring to publish “seditious” material. His sentence will be announced at a later date.
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On 15 December, Jimmy Lai was found guilty of offences including two counts of "collusion with foreign forces” and conspiring to publish “seditious” material. His sentence will be announced at a later date. Lai, a laureate of the RSF Press Freedom Award, has been in prison continuously since December 2020. Subjected to harsh conditions of solitary confinement, he is restricted to only 50 minutes of “exercise” per day in a metal cage, which has led to significant deterioration of his health. His family has warned that his fingernails have fallen off and his teeth rotted. We are outraged that a court in Hong Kong has delivered a guilty verdict in the sham trial of the British publisher. We call on democratic leaders worldwide to act immediately to secure the release of the 78-year-old founder of Apple Daily. Read more at rsf.org -- Le 15 décembre, Jimmy Lai a été reconnu coupable notamment de “collusion avec des forces étrangères” et de complot en vue de publier des documents “séditieux”. Sa peine sera prononcée à une date ultérieure. Jimmy Lai, lauréat du prix RSF pour la liberté de la presse, est détenu sans interruption depuis décembre 2020. Soumis à l’isolement et à des conditions de détention sévères, il n'a droit qu'à 50 minutes d'“exercice” par jour dans une cage métallique, ce qui a entraîné une grave détérioration de son état de santé. Sa famille a signalé que ses ongles étaient tombés, que ses dents étaient pourries. Nous sommes indigné.e.s par ce verdict, rendu dans le simulacre de procès contre le patron de presse britannique. Nous appelons les dirigeants démocratiques du monde entier à agir immédiatement pour obtenir la libération du fondateur d’Apple Daily, âgé de 78 ans. En savoir plus sur rsf.org #media #journalisme #freespeech #freepress #journalists #journaliste #condemningabuses #reportersindanger #libertédelapresse #journalismisntacrime #fightfortruth #humanrights #freemedia #justicenow #picoftheday #libertedelapresse #rsf
10 hours ago
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Iqbal Khattak, RSF's representative in Pakistan, discusses the situation exiled Afghan journalists sent back to Taliban nightmare while the world looks away.
After fleeing persecution by the Taliban, these men and women are now confronted by arbitrary arrests and the threat of being deported on a daily basis, in direct violation of the principle of non-refoulement — a cornerstone of international law. These media professionals, who fled Afghanistan to save their lives, are now being criminalised by the Pakistani government. 

At least 20 of them, supported by RSF, have been forcibly repatriated. Despite multiple calls for the protection of journalists, the policy of deporting Afghan refugees en masse — which began in 2023 — continues. 

We call on the Pakistani authorities to immediately put a stop to the deportations and restore a functional visa renewal process for these journalists who have been forced into exile. We also urge the international community to open safe and legal channels for their rapid resettlement in third countries.

–
Iqbal Khattak, le représentant de RSF au Pakistan, décrypte l’exil brisé des journalistes afghans, renvoyés vers le cauchemar taliban pendant que le monde détourne le regard.

Après avoir fui les persécutions des talibans, ces hommes et ces femmes sont confrontés quotidiennement aux arrestations arbitraires et à la menace d’une expulsion en violation flagrante du principe de non-refoulement. Ces professionnels des médias qui ont fui pour sauver leur vie sont désormais criminalisés par le gouvernement pakistanais

Au moins une vingtaine de journalistes afghans réfugiés au Pakistan ont été renvoyés de force en 2025 dans le pays qu’ils avaient fui. Alors que le rythme des expulsions s’accélère, des dizaines d’autres journalistes exilés vivent désormais dans la peur d’être arrêtés à tout moment.

Nous appelons les autorités pakistanaises à mettre immédiatement fin aux expulsions et à rétablir un processus fonctionnel de renouvellement des visas pour ces journalistes contraints à l’exil. Nous exhortons également la communauté internationale à ouvrir des voies sûres et légales pour leur réinstallation rapide dans des pays tiers.
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Iqbal Khattak, RSF's representative in Pakistan, discusses the situation exiled Afghan journalists sent back to Taliban nightmare while the world looks away. After fleeing persecution by the Taliban, these men and women are now confronted by arbitrary arrests and the threat of being deported on a daily basis, in direct violation of the principle of non-refoulement — a cornerstone of international law. These media professionals, who fled Afghanistan to save their lives, are now being criminalised by the Pakistani government. At least 20 of them, supported by RSF, have been forcibly repatriated. Despite multiple calls for the protection of journalists, the policy of deporting Afghan refugees en masse — which began in 2023 — continues. We call on the Pakistani authorities to immediately put a stop to the deportations and restore a functional visa renewal process for these journalists who have been forced into exile. We also urge the international community to open safe and legal channels for their rapid resettlement in third countries. – Iqbal Khattak, le représentant de RSF au Pakistan, décrypte l’exil brisé des journalistes afghans, renvoyés vers le cauchemar taliban pendant que le monde détourne le regard. Après avoir fui les persécutions des talibans, ces hommes et ces femmes sont confrontés quotidiennement aux arrestations arbitraires et à la menace d’une expulsion en violation flagrante du principe de non-refoulement. Ces professionnels des médias qui ont fui pour sauver leur vie sont désormais criminalisés par le gouvernement pakistanais Au moins une vingtaine de journalistes afghans réfugiés au Pakistan ont été renvoyés de force en 2025 dans le pays qu’ils avaient fui. Alors que le rythme des expulsions s’accélère, des dizaines d’autres journalistes exilés vivent désormais dans la peur d’être arrêtés à tout moment. Nous appelons les autorités pakistanaises à mettre immédiatement fin aux expulsions et à rétablir un processus fonctionnel de renouvellement des visas pour ces journalistes contraints à l’exil. Nous exhortons également la communauté internationale à ouvrir des voies sûres et légales pour leur réinstallation rapide dans des pays tiers.
1 day ago
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Belarusian journalist Maryna Zolatava was released from prison, along with 122 other political prisoners.
Maryna Zolatava was most recently editor-in-chief of the independent online media outlet Tut.by before its office was seized and the outlet was shut down by the authorities. The journalist was arrested in May 2021 and sentenced in 2023 to twelve years in a penal colony.
 
However, her release illustrates the cynicism of Alexander Lukashenko’s regime, which continues to use political prisoners and journalists jailed for their work as a genuine bargaining chip in diplomatic negotiations. RSF calls for the immediate and unconditional release of all detained journalists and for an end to the systematic repression of independent information.
 
Learn more at rsf.org or in the link in bio.
–
La journaliste biélorusse Maryna Zolatava a été libérée de prison, en même temps que 122 autres prisonniers politiques. 
 
Maryna Zolatava était rédactrice en chef du média en ligne indépendant Tut.by avant que ses locaux ne soient saisis et que le média ne soit fermé par les autorités. La journaliste avait été arrêtée en mai 2021 et condamnée en 2023 à douze ans de réclusion en colonie pénitentiaire.
 
Cependant, sa libération illustre le cynisme du régime d'Alexandre Loukachenko, qui continue d'utiliser les prisonniers politiques et les journalistes emprisonnés pour leur travail comme une véritable monnaie d'échange dans les négociations diplomatiques. Nous demandons la libération immédiate et inconditionnelle de tous les journalistes détenus et la fin de la répression systématique de l'information indépendante.
 
En savoir plus sur rsf.org ou dans le lien en bio
 
#media #journalisme #freespeech #freepress #journalists #journaliste #condemningabuses #reportersindanger #libertédelapresse #journalismisntacrime #fightfortruth #humanrights #freemedia #justicenow #picoftheday #libertedelapresse  #rsf
Belarusian journalist Maryna Zolatava was released from prison, along with 122 other political prisoners.
Maryna Zolatava was most recently editor-in-chief of the independent online media outlet Tut.by before its office was seized and the outlet was shut down by the authorities. The journalist was arrested in May 2021 and sentenced in 2023 to twelve years in a penal colony.
 
However, her release illustrates the cynicism of Alexander Lukashenko’s regime, which continues to use political prisoners and journalists jailed for their work as a genuine bargaining chip in diplomatic negotiations. RSF calls for the immediate and unconditional release of all detained journalists and for an end to the systematic repression of independent information.
 
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La journaliste biélorusse Maryna Zolatava a été libérée de prison, en même temps que 122 autres prisonniers politiques. 
 
Maryna Zolatava était rédactrice en chef du média en ligne indépendant Tut.by avant que ses locaux ne soient saisis et que le média ne soit fermé par les autorités. La journaliste avait été arrêtée en mai 2021 et condamnée en 2023 à douze ans de réclusion en colonie pénitentiaire.
 
Cependant, sa libération illustre le cynisme du régime d'Alexandre Loukachenko, qui continue d'utiliser les prisonniers politiques et les journalistes emprisonnés pour leur travail comme une véritable monnaie d'échange dans les négociations diplomatiques. Nous demandons la libération immédiate et inconditionnelle de tous les journalistes détenus et la fin de la répression systématique de l'information indépendante.
 
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Belarusian journalist Maryna Zolatava was released from prison, along with 122 other political prisoners. Maryna Zolatava was most recently editor-in-chief of the independent online media outlet Tut.by before its office was seized and the outlet was shut down by the authorities. The journalist was arrested in May 2021 and sentenced in 2023 to twelve years in a penal colony. However, her release illustrates the cynicism of Alexander Lukashenko’s regime, which continues to use political prisoners and journalists jailed for their work as a genuine bargaining chip in diplomatic negotiations. RSF calls for the immediate and unconditional release of all detained journalists and for an end to the systematic repression of independent information. Learn more at rsf.org or in the link in bio. – La journaliste biélorusse Maryna Zolatava a été libérée de prison, en même temps que 122 autres prisonniers politiques. Maryna Zolatava était rédactrice en chef du média en ligne indépendant Tut.by avant que ses locaux ne soient saisis et que le média ne soit fermé par les autorités. La journaliste avait été arrêtée en mai 2021 et condamnée en 2023 à douze ans de réclusion en colonie pénitentiaire. Cependant, sa libération illustre le cynisme du régime d'Alexandre Loukachenko, qui continue d'utiliser les prisonniers politiques et les journalistes emprisonnés pour leur travail comme une véritable monnaie d'échange dans les négociations diplomatiques. Nous demandons la libération immédiate et inconditionnelle de tous les journalistes détenus et la fin de la répression systématique de l'information indépendante. En savoir plus sur rsf.org ou dans le lien en bio #media #journalisme #freespeech #freepress #journalists #journaliste #condemningabuses #reportersindanger #libertédelapresse #journalismisntacrime #fightfortruth #humanrights #freemedia #justicenow #picoftheday #libertedelapresse #rsf
1 day ago
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4/6
Cela fait quatre mois que Moussa Sareba a disparu. 
Dans la matinée du 10 août, le journaliste aurait reçu un appel téléphonique d’un individu non-identifié, lui demandant de se rendre dans les locaux de “Fil Infos”, à #Ouagadougou. 
Le journaliste s’y est rendu en mobylette. À son arrivée, plusieurs individus, se présentant comme des agents de la Direction générale de la police nationale, lui auraient ordonné de les suivre.
 
Le cortège se rend ensuite à son domicile. Moussa Sareba serait alors entré chez lui, accompagné de deux individus habillés en civil, pour récupérer son téléphone et son ordinateur, selon les informations recueillies par RSF. Depuis, les proches et collègues du journaliste n’ont plus eu aucun contact avec lui et ignorent où il est détenu. RSF a sollicité des informations auprès du ministère de la Communication, mais n’a reçu à ce jour aucune réponse. 
Nous condamnons cette disparition forcée et demandons aux autorités de révéler où se trouve Moussa Sareba et de le libérer immédiatement.
–
It has been four months since Moussa Sareba disappeared.
The journalist allegedly received a phone call from an unidentified individual asking him to go to the premises of “Fil Infos”, in Ouagadougou. 
Upon his arrival, several individuals in civilian clothing who presented themselves as agents of the National Police reportedly ordered him to follow them.
 
The group then went to his home. According to RSF information, Moussa Sareba entered his home with two of the individuals to retrieve his phone and computer. Since then, his close ones and colleagues have had no contact with him and do not know where he is being detained.RSF has requested information from the Ministry of Communication but has not yet received a response.
 
We condemn this forced disappearance and call on the authorities to reveal Moussa Sareba’s fate and whereabouts and release him immediately.
Cela fait quatre mois que Moussa Sareba a disparu. 
Dans la matinée du 10 août, le journaliste aurait reçu un appel téléphonique d’un individu non-identifié, lui demandant de se rendre dans les locaux de “Fil Infos”, à #Ouagadougou. 
Le journaliste s’y est rendu en mobylette. À son arrivée, plusieurs individus, se présentant comme des agents de la Direction générale de la police nationale, lui auraient ordonné de les suivre.
 
Le cortège se rend ensuite à son domicile. Moussa Sareba serait alors entré chez lui, accompagné de deux individus habillés en civil, pour récupérer son téléphone et son ordinateur, selon les informations recueillies par RSF. Depuis, les proches et collègues du journaliste n’ont plus eu aucun contact avec lui et ignorent où il est détenu. RSF a sollicité des informations auprès du ministère de la Communication, mais n’a reçu à ce jour aucune réponse. 
Nous condamnons cette disparition forcée et demandons aux autorités de révéler où se trouve Moussa Sareba et de le libérer immédiatement.
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It has been four months since Moussa Sareba disappeared.
The journalist allegedly received a phone call from an unidentified individual asking him to go to the premises of “Fil Infos”, in Ouagadougou. 
Upon his arrival, several individuals in civilian clothing who presented themselves as agents of the National Police reportedly ordered him to follow them.
 
The group then went to his home. According to RSF information, Moussa Sareba entered his home with two of the individuals to retrieve his phone and computer. Since then, his close ones and colleagues have had no contact with him and do not know where he is being detained.RSF has requested information from the Ministry of Communication but has not yet received a response.
 
We condemn this forced disappearance and call on the authorities to reveal Moussa Sareba’s fate and whereabouts and release him immediately.
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Cela fait quatre mois que Moussa Sareba a disparu. Dans la matinée du 10 août, le journaliste aurait reçu un appel téléphonique d’un individu non-identifié, lui demandant de se rendre dans les locaux de “Fil Infos”, à #Ouagadougou. Le journaliste s’y est rendu en mobylette. À son arrivée, plusieurs individus, se présentant comme des agents de la Direction générale de la police nationale, lui auraient ordonné de les suivre. Le cortège se rend ensuite à son domicile. Moussa Sareba serait alors entré chez lui, accompagné de deux individus habillés en civil, pour récupérer son téléphone et son ordinateur, selon les informations recueillies par RSF. Depuis, les proches et collègues du journaliste n’ont plus eu aucun contact avec lui et ignorent où il est détenu. RSF a sollicité des informations auprès du ministère de la Communication, mais n’a reçu à ce jour aucune réponse. Nous condamnons cette disparition forcée et demandons aux autorités de révéler où se trouve Moussa Sareba et de le libérer immédiatement. – It has been four months since Moussa Sareba disappeared. The journalist allegedly received a phone call from an unidentified individual asking him to go to the premises of “Fil Infos”, in Ouagadougou. Upon his arrival, several individuals in civilian clothing who presented themselves as agents of the National Police reportedly ordered him to follow them. The group then went to his home. According to RSF information, Moussa Sareba entered his home with two of the individuals to retrieve his phone and computer. Since then, his close ones and colleagues have had no contact with him and do not know where he is being detained.RSF has requested information from the Ministry of Communication but has not yet received a response. We condemn this forced disappearance and call on the authorities to reveal Moussa Sareba’s fate and whereabouts and release him immediately.
3 days ago
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5/6
On 12 December 2025, just one year after her release, plain clothed security forces violently detained 2023 Nobel Peace Prize laureate Narges Mohammadi at the seventh day memorial ceremony of the late lawyer Khosrow Alikordi in the city of Mashhad, according to witnesses. 
 
Photojournalist Alieh Motalebzadeh and three other human rights defenders have also been arrested.
Mohammadi has already spent more than 10 years of her life in prison.
 
We condemn this arrest and calls on Iranian authorities to release Mohammadi and the other detainees. 
—
Le 12 décembre 2025, 1 an seulement après sa libération, des forces de sécurité en civil ont violemment arrêté Narges Mohammadi, lauréate du prix Nobel de la paix 2023 lors de la cérémonie commémorative du septième jour de la mort de l'avocat Khosrow Alikordi dans la ville de Mashhad, selon des témoins. 
 
La  photojournaliste Alieh Motalebzadeh et trois autres défenseurs des droits humains ont également été arrêtés. 
 
Mme Mohammadi a déjà passé plus de 10 ans de sa vie en prison.
Nous condamnons cette arrestation et appelons les autorités iraniennes à libérer Mme Mohammadi et les autres détenus.
 
#freenarges
#media #journalisme #freespeech #freepress #journalists #journaliste #condemningabuses #reportersindanger #libertédelapresse #journalismisntacrime #fightfortruth #humanrights #freemedia #justicenow #picoftheday #libertedelapresse #rsf
On 12 December 2025, just one year after her release, plain clothed security forces violently detained 2023 Nobel Peace Prize laureate Narges Mohammadi at the seventh day memorial ceremony of the late lawyer Khosrow Alikordi in the city of Mashhad, according to witnesses. 
 
Photojournalist Alieh Motalebzadeh and three other human rights defenders have also been arrested.
Mohammadi has already spent more than 10 years of her life in prison.
 
We condemn this arrest and calls on Iranian authorities to release Mohammadi and the other detainees. 
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Le 12 décembre 2025, 1 an seulement après sa libération, des forces de sécurité en civil ont violemment arrêté Narges Mohammadi, lauréate du prix Nobel de la paix 2023 lors de la cérémonie commémorative du septième jour de la mort de l'avocat Khosrow Alikordi dans la ville de Mashhad, selon des témoins. 
 
La  photojournaliste Alieh Motalebzadeh et trois autres défenseurs des droits humains ont également été arrêtés. 
 
Mme Mohammadi a déjà passé plus de 10 ans de sa vie en prison.
Nous condamnons cette arrestation et appelons les autorités iraniennes à libérer Mme Mohammadi et les autres détenus.
 
#freenarges
#media #journalisme #freespeech #freepress #journalists #journaliste #condemningabuses #reportersindanger #libertédelapresse #journalismisntacrime #fightfortruth #humanrights #freemedia #justicenow #picoftheday #libertedelapresse #rsf
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On 12 December 2025, just one year after her release, plain clothed security forces violently detained 2023 Nobel Peace Prize laureate Narges Mohammadi at the seventh day memorial ceremony of the late lawyer Khosrow Alikordi in the city of Mashhad, according to witnesses. Photojournalist Alieh Motalebzadeh and three other human rights defenders have also been arrested. Mohammadi has already spent more than 10 years of her life in prison. We condemn this arrest and calls on Iranian authorities to release Mohammadi and the other detainees. — Le 12 décembre 2025, 1 an seulement après sa libération, des forces de sécurité en civil ont violemment arrêté Narges Mohammadi, lauréate du prix Nobel de la paix 2023 lors de la cérémonie commémorative du septième jour de la mort de l'avocat Khosrow Alikordi dans la ville de Mashhad, selon des témoins. La photojournaliste Alieh Motalebzadeh et trois autres défenseurs des droits humains ont également été arrêtés. Mme Mohammadi a déjà passé plus de 10 ans de sa vie en prison. Nous condamnons cette arrestation et appelons les autorités iraniennes à libérer Mme Mohammadi et les autres détenus. #freenarges #media #journalisme #freespeech #freepress #journalists #journaliste #condemningabuses #reportersindanger #libertédelapresse #journalismisntacrime #fightfortruth #humanrights #freemedia #justicenow #picoftheday #libertedelapresse #rsf
4 days ago
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