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La cour d’appel de Tizi Ouzou a confirmé, ce 3 décembre, la condamnation à sept années de prison ferme prononcée contre le journaliste français Christophe Gleizes, prolongeant une procédure déjà longue de dix-huit mois. 

Aux côtés du comité de soutien du journaliste, nous exprimons notre consternation face à cette décision contre un professionnel de l’information confirmé et reconnu qui n’a fait que son travail.

La justice algérienne a manqué l’occasion d’une issue honorable. Le tribunal n’a pas entendu les appels à la clémence, les déclarations de bonne foi de Christophe et les plaidoiries de ses avocats.

Signez la pétition #freegleizes sur rsf.org ou dans le lien en bio.

@gleizes.maxime
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La cour d’appel de Tizi Ouzou a confirmé, ce 3 décembre, la condamnation à sept années de prison ferme prononcée contre le journaliste français Christophe Gleizes, prolongeant une procédure déjà longue de dix-huit mois. Aux côtés du comité de soutien du journaliste, nous exprimons notre consternation face à cette décision contre un professionnel de l’information confirmé et reconnu qui n’a fait que son travail. La justice algérienne a manqué l’occasion d’une issue honorable. Le tribunal n’a pas entendu les appels à la clémence, les déclarations de bonne foi de Christophe et les plaidoiries de ses avocats. Signez la pétition #freegleizes sur rsf.org ou dans le lien en bio. @gleizes.maxime
1 day ago
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1/6
Sur quel ton faudra-t-il le dire ? Le journalisme n’est pas un crime ! 
La cour d’appel de Tizi Ouzou a confirmé, ce 3 décembre, la condamnation à sept années de prison ferme prononcée contre le journaliste français Christophe Gleizes, prolongeant une procédure déjà longue de dix-huit mois. 
Nous condamnons avec la plus grande fermeté la décision aberrante de la cour d’appel de Tizi Ouzou, qui choisit de maintenir en prison un journaliste n’ayant fait que son travail. La justice algérienne a manqué l’occasion d’une issue honorable. Le tribunal n’a pas entendu les appels à la clémence, les déclarations de bonne foi de Christophe et les plaidoiries de ses avocats.

#freegleizes
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Sur quel ton faudra-t-il le dire ? Le journalisme n’est pas un crime ! La cour d’appel de Tizi Ouzou a confirmé, ce 3 décembre, la condamnation à sept années de prison ferme prononcée contre le journaliste français Christophe Gleizes, prolongeant une procédure déjà longue de dix-huit mois. Nous condamnons avec la plus grande fermeté la décision aberrante de la cour d’appel de Tizi Ouzou, qui choisit de maintenir en prison un journaliste n’ayant fait que son travail. La justice algérienne a manqué l’occasion d’une issue honorable. Le tribunal n’a pas entendu les appels à la clémence, les déclarations de bonne foi de Christophe et les plaidoiries de ses avocats. #freegleizes
1 day ago
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2/6
After nearly three months of silence, Zhang Zhan’s four-year prison sentence has finally been made public. She was sentenced to four years in prison on fabricated charges of “picking quarrels and provoking trouble” on 19 September 2025 following a closed-door trial.
 
We are shocked and outraged by this baseless sentence. The arbitrary sentencing of Zhang Zhan by the Chinese regime sends another chilling message to all independent reporters. The journalist should never have been detained in the first place, but rather celebrated as a hero of reliable information in the country. We renew our call on the international community to intensify pressure on #Beijing to end her persecution, ensure her safety and demand her immediate release.
 
Read the full article at rsf.org or in the link in bio.
 
–
 
Après près de 3 mois de silence, la condamnation de #ZhangZhan à quatre ans de prison a enfin été rendue publique : elle a été condamnée le 19 septembre 2025 à 4 ans de prison au prétexte d’avoir “attisé des querelles et provoqué des troubles”, à l’issue d’un procès tenu à huis clos.
 
Nous sommes choqués et indignés par cette nouvelle condamnation infondée. La peine arbitraire infligée à Zhang Zhan par le régime chinois adresse un nouveau message glaçant à tous les journalistes indépendants. La journaliste n’aurait jamais dû être détenue, mais au contraire reconnue comme une héroïne de l’information dans son pays. Nous renouvelons notre appel à la communauté internationale pour qu'elle intensifie ses pressions sur #Pékin pour mettre fin à sa persécution, garantir sa sécurité et obtenir sa libération immédiate.
 
Lire notre article en entier sur rsf.org ou dans le lien en bio. 
 
#freezhangzhan #Chine #China #rsfnews #rsf
After nearly three months of silence, Zhang Zhan’s four-year prison sentence has finally been made public. She was sentenced to four years in prison on fabricated charges of “picking quarrels and provoking trouble” on 19 September 2025 following a closed-door trial.
 
We are shocked and outraged by this baseless sentence. The arbitrary sentencing of Zhang Zhan by the Chinese regime sends another chilling message to all independent reporters. The journalist should never have been detained in the first place, but rather celebrated as a hero of reliable information in the country. We renew our call on the international community to intensify pressure on #Beijing to end her persecution, ensure her safety and demand her immediate release.
 
Read the full article at rsf.org or in the link in bio.
 
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Après près de 3 mois de silence, la condamnation de #ZhangZhan à quatre ans de prison a enfin été rendue publique : elle a été condamnée le 19 septembre 2025 à 4 ans de prison au prétexte d’avoir “attisé des querelles et provoqué des troubles”, à l’issue d’un procès tenu à huis clos.
 
Nous sommes choqués et indignés par cette nouvelle condamnation infondée. La peine arbitraire infligée à Zhang Zhan par le régime chinois adresse un nouveau message glaçant à tous les journalistes indépendants. La journaliste n’aurait jamais dû être détenue, mais au contraire reconnue comme une héroïne de l’information dans son pays. Nous renouvelons notre appel à la communauté internationale pour qu'elle intensifie ses pressions sur #Pékin pour mettre fin à sa persécution, garantir sa sécurité et obtenir sa libération immédiate.
 
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After nearly three months of silence, Zhang Zhan’s four-year prison sentence has finally been made public. She was sentenced to four years in prison on fabricated charges of “picking quarrels and provoking trouble” on 19 September 2025 following a closed-door trial. We are shocked and outraged by this baseless sentence. The arbitrary sentencing of Zhang Zhan by the Chinese regime sends another chilling message to all independent reporters. The journalist should never have been detained in the first place, but rather celebrated as a hero of reliable information in the country. We renew our call on the international community to intensify pressure on #Beijing to end her persecution, ensure her safety and demand her immediate release. Read the full article at rsf.org or in the link in bio. – Après près de 3 mois de silence, la condamnation de #ZhangZhan à quatre ans de prison a enfin été rendue publique : elle a été condamnée le 19 septembre 2025 à 4 ans de prison au prétexte d’avoir “attisé des querelles et provoqué des troubles”, à l’issue d’un procès tenu à huis clos. Nous sommes choqués et indignés par cette nouvelle condamnation infondée. La peine arbitraire infligée à Zhang Zhan par le régime chinois adresse un nouveau message glaçant à tous les journalistes indépendants. La journaliste n’aurait jamais dû être détenue, mais au contraire reconnue comme une héroïne de l’information dans son pays. Nous renouvelons notre appel à la communauté internationale pour qu'elle intensifie ses pressions sur #Pékin pour mettre fin à sa persécution, garantir sa sécurité et obtenir sa libération immédiate. Lire notre article en entier sur rsf.org ou dans le lien en bio. #freezhangzhan #Chine #China #rsfnews #rsf
2 days ago
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3/6
As part of its global strategy to support independent journalism, we are launching the “RSF Resources for Journalists” website.
 
Accessible at resources.rsf.org, the platform provides media professionals all over the world with reliable and practical tools to help them reinforce their physical, digital, psychological and legal safety, better protect their sources, and deepen their understanding of professional journalistic standards, including in such specialised fields as environmental journalism. 
 
To meet the specific needs of journalists in the field in each region, the website offers content tailored to each area. The site is translated into eight leading languages – English, Arabic, Mandarin (simplified and traditional), Spanish, French, Thai and Ukrainian – and provides access to external resources available in other languages such as the toolbox for media professionals in India, which is available in six Indian languages.
 
🔗 Visit the website at resources.rsf.org
–
Dans le cadre de notre stratégie mondiale de soutien au journalisme indépendant, nous lançons le site “RSF Resources for Journalists”. 
 
Accessible sur resources.rsf.org, cette plateforme offre aux professionnels de l’information du monde entier des outils fiables et pratiques leur permettant de renforcer leur sécurité physique, numérique, psychologique et juridique, de mieux protéger leurs sources, et également d’approfondir leur connaissance des standards professionnels du journalisme, y compris dans des domaines spécialisés, tel que le journalisme environnemental.
 
Afin de répondre aux besoins spécifiques des journalistes sur le terrain dans chaque zone, le site propose des contenus adaptés à chaque région. Le site est traduit en huit langues principales : anglais, arabe, chinois en versions simplifiée et traditionnelle, espagnol, français, thaï et ukrainien et donne aussi accès à des ressources externes disponibles dans d’autres langues, à l’instar de la boîte à outils pour les professionnels des médias en  Inde, disponible dans six langues indiennes.
 
🔗 Retrouvez le site sur resources.rsf.org

Illustration : Sophie Bourlet

#media #journalists #libertedelapresse #rsf
As part of its global strategy to support independent journalism, we are launching the “RSF Resources for Journalists” website.
 
Accessible at resources.rsf.org, the platform provides media professionals all over the world with reliable and practical tools to help them reinforce their physical, digital, psychological and legal safety, better protect their sources, and deepen their understanding of professional journalistic standards, including in such specialised fields as environmental journalism. 
 
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Afin de répondre aux besoins spécifiques des journalistes sur le terrain dans chaque zone, le site propose des contenus adaptés à chaque région. Le site est traduit en huit langues principales : anglais, arabe, chinois en versions simplifiée et traditionnelle, espagnol, français, thaï et ukrainien et donne aussi accès à des ressources externes disponibles dans d’autres langues, à l’instar de la boîte à outils pour les professionnels des médias en  Inde, disponible dans six langues indiennes.
 
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3 days ago
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4/6
Max is rapidly becoming the most used messaging app in Russia and the occupied Ukrainian territories. Only accessible via a Russian or Belarusian phone number, the app blocks communication with free Ukraine and harvests 100 per cent of user data, all while serving as a major vehicle for propaganda.

The Kremlin’s strategy is clear: to make the Max messaging app the backbone of online life in Russia and in the occupied Ukrainian territories. Max gives the Kremlin a powerful tool for spreading its propaganda in a centralised digital space. This forced adoption also creates an information blackout for Ukrainian citizens in the occupied territories, cut off from free Ukraine.

We condemn this tool for digital control that isolates citizens in the occupied territories from reliable information.
Read the full article at rsf.org or in the link in bio.
–
« Max » s’impose comme la nouvelle application de messagerie en Russie et dans les territoires occupés d’Ukraine. Accessible uniquement avec un numéro de téléphone russe ou biélorusse, cette application empêche la communication avec l’Ukraine libre et capte toutes les données des utilisateurs, tout en étant un important vecteur de propagande.

La stratégie du Kremlin est claire : faire de l’application de messagerie Max l’arrière-plan de la vie numérique en Russie et dans les territoires ukrainiens occupés. Avec Max, le Kremlin dispose d’un outil puissant pour projeter sa propagande dans un espace numérique centralisé. Derrière cette adoption à marche forcée se joue aussi l’isolement informationnel des citoyens ukrainiens dans les territoires occupés, coupés du reste de l’Ukraine libre.

Nous dénonçons un outil de contrôle numérique, enfermant les territoires occupés d’Ukraine dans une prison informationnelle.
Lisez notre article en entier sur rsf.org ou dans le lien en bio.
Max is rapidly becoming the most used messaging app in Russia and the occupied Ukrainian territories. Only accessible via a Russian or Belarusian phone number, the app blocks communication with free Ukraine and harvests 100 per cent of user data, all while serving as a major vehicle for propaganda.

The Kremlin’s strategy is clear: to make the Max messaging app the backbone of online life in Russia and in the occupied Ukrainian territories. Max gives the Kremlin a powerful tool for spreading its propaganda in a centralised digital space. This forced adoption also creates an information blackout for Ukrainian citizens in the occupied territories, cut off from free Ukraine.

We condemn this tool for digital control that isolates citizens in the occupied territories from reliable information.
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« Max » s’impose comme la nouvelle application de messagerie en Russie et dans les territoires occupés d’Ukraine. Accessible uniquement avec un numéro de téléphone russe ou biélorusse, cette application empêche la communication avec l’Ukraine libre et capte toutes les données des utilisateurs, tout en étant un important vecteur de propagande.

La stratégie du Kremlin est claire : faire de l’application de messagerie Max l’arrière-plan de la vie numérique en Russie et dans les territoires ukrainiens occupés. Avec Max, le Kremlin dispose d’un outil puissant pour projeter sa propagande dans un espace numérique centralisé. Derrière cette adoption à marche forcée se joue aussi l’isolement informationnel des citoyens ukrainiens dans les territoires occupés, coupés du reste de l’Ukraine libre.

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« Max » s’impose comme la nouvelle application de messagerie en Russie et dans les territoires occupés d’Ukraine. Accessible uniquement avec un numéro de téléphone russe ou biélorusse, cette application empêche la communication avec l’Ukraine libre et capte toutes les données des utilisateurs, tout en étant un important vecteur de propagande.

La stratégie du Kremlin est claire : faire de l’application de messagerie Max l’arrière-plan de la vie numérique en Russie et dans les territoires ukrainiens occupés. Avec Max, le Kremlin dispose d’un outil puissant pour projeter sa propagande dans un espace numérique centralisé. Derrière cette adoption à marche forcée se joue aussi l’isolement informationnel des citoyens ukrainiens dans les territoires occupés, coupés du reste de l’Ukraine libre.

Nous dénonçons un outil de contrôle numérique, enfermant les territoires occupés d’Ukraine dans une prison informationnelle.
Lisez notre article en entier sur rsf.org ou dans le lien en bio.
Max is rapidly becoming the most used messaging app in Russia and the occupied Ukrainian territories. Only accessible via a Russian or Belarusian phone number, the app blocks communication with free Ukraine and harvests 100 per cent of user data, all while serving as a major vehicle for propaganda.

The Kremlin’s strategy is clear: to make the Max messaging app the backbone of online life in Russia and in the occupied Ukrainian territories. Max gives the Kremlin a powerful tool for spreading its propaganda in a centralised digital space. This forced adoption also creates an information blackout for Ukrainian citizens in the occupied territories, cut off from free Ukraine.

We condemn this tool for digital control that isolates citizens in the occupied territories from reliable information.
Read the full article at rsf.org or in the link in bio.
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« Max » s’impose comme la nouvelle application de messagerie en Russie et dans les territoires occupés d’Ukraine. Accessible uniquement avec un numéro de téléphone russe ou biélorusse, cette application empêche la communication avec l’Ukraine libre et capte toutes les données des utilisateurs, tout en étant un important vecteur de propagande.

La stratégie du Kremlin est claire : faire de l’application de messagerie Max l’arrière-plan de la vie numérique en Russie et dans les territoires ukrainiens occupés. Avec Max, le Kremlin dispose d’un outil puissant pour projeter sa propagande dans un espace numérique centralisé. Derrière cette adoption à marche forcée se joue aussi l’isolement informationnel des citoyens ukrainiens dans les territoires occupés, coupés du reste de l’Ukraine libre.

Nous dénonçons un outil de contrôle numérique, enfermant les territoires occupés d’Ukraine dans une prison informationnelle.
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Max is rapidly becoming the most used messaging app in Russia and the occupied Ukrainian territories. Only accessible via a Russian or Belarusian phone number, the app blocks communication with free Ukraine and harvests 100 per cent of user data, all while serving as a major vehicle for propaganda. The Kremlin’s strategy is clear: to make the Max messaging app the backbone of online life in Russia and in the occupied Ukrainian territories. Max gives the Kremlin a powerful tool for spreading its propaganda in a centralised digital space. This forced adoption also creates an information blackout for Ukrainian citizens in the occupied territories, cut off from free Ukraine. We condemn this tool for digital control that isolates citizens in the occupied territories from reliable information. Read the full article at rsf.org or in the link in bio. – « Max » s’impose comme la nouvelle application de messagerie en Russie et dans les territoires occupés d’Ukraine. Accessible uniquement avec un numéro de téléphone russe ou biélorusse, cette application empêche la communication avec l’Ukraine libre et capte toutes les données des utilisateurs, tout en étant un important vecteur de propagande. La stratégie du Kremlin est claire : faire de l’application de messagerie Max l’arrière-plan de la vie numérique en Russie et dans les territoires ukrainiens occupés. Avec Max, le Kremlin dispose d’un outil puissant pour projeter sa propagande dans un espace numérique centralisé. Derrière cette adoption à marche forcée se joue aussi l’isolement informationnel des citoyens ukrainiens dans les territoires occupés, coupés du reste de l’Ukraine libre. Nous dénonçons un outil de contrôle numérique, enfermant les territoires occupés d’Ukraine dans une prison informationnelle. Lisez notre article en entier sur rsf.org ou dans le lien en bio.
3 days ago
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The death of Darwin Baque is yet another example of the deteriorating conditions for journalists in Ecuador: this is the second murder of a media professional in Guayas Province in a month.

According to RSF information, the journalist was ambushed by two armed men on a motorcycle, who intercepted him as he was leaving a family gathering and shot him at close range in Guayas Province. The attackers reportedly fled immediately.

Darwin Baque’s murder demands an immediate and strong response from the state, even more so as it took place in a region where journalists covering violence work in extremely dangerous conditions.

The authorities must adopt effective measures to protect journalists, especially those covering violence, organised crime, and other high-risk topics in Guayaquil and the rest of the country.

Learn more on rsg.org or in the link in bio
–
La mort de Darwin Baque illustre une nouvelle fois la dégradation des conditions d’exercice du journalisme en Équateur : il s’agit du deuxième meurtre d’un professionnel des médias dans la province du Guayas en un mois. 
 
Le journaliste a été pris en embuscade par deux hommes armés circulant à moto, qui l’ont intercepté alors qu’il quittait une réunion familiale et l’ont abattu à bout portant dans la province du Guayas, selon les informations recueillies par RSF. Les assaillants auraient immédiatement pris la fuite. 
 
L’assassinat de Darwin Baque, dans une région où les journalistes couvrant la violence travaillent dans des conditions extrêmement dangereuses, exige une réponse immédiate et forte de la part de l’État.
 
Les autorités doivent adopter des mesures efficaces pour protéger les journalistes, en particulier ceux qui couvrent la violence, le crime organisé et d’autres sujets à haut risque à Guayaquil et dans tout le pays.

En savoir plus dans le lien en bio ou sur rsf.org

#media #journalisme #freespeech #freepress #journalists #journaliste #condemningabuses #reportersindanger #libertédelapresse #journalismisntacrime #fightfortruth #humanrights #freemedia #justicenow #picoftheday #libertedelapresse #rsf
The death of Darwin Baque is yet another example of the deteriorating conditions for journalists in Ecuador: this is the second murder of a media professional in Guayas Province in a month.

According to RSF information, the journalist was ambushed by two armed men on a motorcycle, who intercepted him as he was leaving a family gathering and shot him at close range in Guayas Province. The attackers reportedly fled immediately.

Darwin Baque’s murder demands an immediate and strong response from the state, even more so as it took place in a region where journalists covering violence work in extremely dangerous conditions.

The authorities must adopt effective measures to protect journalists, especially those covering violence, organised crime, and other high-risk topics in Guayaquil and the rest of the country.

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La mort de Darwin Baque illustre une nouvelle fois la dégradation des conditions d’exercice du journalisme en Équateur : il s’agit du deuxième meurtre d’un professionnel des médias dans la province du Guayas en un mois. 
 
Le journaliste a été pris en embuscade par deux hommes armés circulant à moto, qui l’ont intercepté alors qu’il quittait une réunion familiale et l’ont abattu à bout portant dans la province du Guayas, selon les informations recueillies par RSF. Les assaillants auraient immédiatement pris la fuite. 
 
L’assassinat de Darwin Baque, dans une région où les journalistes couvrant la violence travaillent dans des conditions extrêmement dangereuses, exige une réponse immédiate et forte de la part de l’État.
 
Les autorités doivent adopter des mesures efficaces pour protéger les journalistes, en particulier ceux qui couvrent la violence, le crime organisé et d’autres sujets à haut risque à Guayaquil et dans tout le pays.

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The death of Darwin Baque is yet another example of the deteriorating conditions for journalists in Ecuador: this is the second murder of a media professional in Guayas Province in a month. According to RSF information, the journalist was ambushed by two armed men on a motorcycle, who intercepted him as he was leaving a family gathering and shot him at close range in Guayas Province. The attackers reportedly fled immediately. Darwin Baque’s murder demands an immediate and strong response from the state, even more so as it took place in a region where journalists covering violence work in extremely dangerous conditions. The authorities must adopt effective measures to protect journalists, especially those covering violence, organised crime, and other high-risk topics in Guayaquil and the rest of the country. Learn more on rsg.org or in the link in bio – La mort de Darwin Baque illustre une nouvelle fois la dégradation des conditions d’exercice du journalisme en Équateur : il s’agit du deuxième meurtre d’un professionnel des médias dans la province du Guayas en un mois. Le journaliste a été pris en embuscade par deux hommes armés circulant à moto, qui l’ont intercepté alors qu’il quittait une réunion familiale et l’ont abattu à bout portant dans la province du Guayas, selon les informations recueillies par RSF. Les assaillants auraient immédiatement pris la fuite. L’assassinat de Darwin Baque, dans une région où les journalistes couvrant la violence travaillent dans des conditions extrêmement dangereuses, exige une réponse immédiate et forte de la part de l’État. Les autorités doivent adopter des mesures efficaces pour protéger les journalistes, en particulier ceux qui couvrent la violence, le crime organisé et d’autres sujets à haut risque à Guayaquil et dans tout le pays. En savoir plus dans le lien en bio ou sur rsf.org #media #journalisme #freespeech #freepress #journalists #journaliste #condemningabuses #reportersindanger #libertédelapresse #journalismisntacrime #fightfortruth #humanrights #freemedia #justicenow #picoftheday #libertedelapresse #rsf
4 days ago
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